Et voilà, l’édito d’Avril.

Quoi ?

J’aime prendre le temps de réfléchir sur le mois qui vient de s’écouler. On peut ainsi prendre du recul sur les choses et avoir un oeil critique sur notre condition pour tirer le meilleur du... Non mais revenez, hey !

Bon.

Alors, qu’est-ce qui s’est passé en Avril. Heuu... Heu... Alors... AAaaah mais ça va me revenir !

Ah bin ça, on se refait pas...

Avec l’ami modération.

D’abord, j’ai travaillé. Ensuite, euh... J’ai travaillé. Et puis pour terminer, j’ai travaillé. Et quand on croit qu’on va enfin être tranquille pendant les longs week ends de mai, et bien non. On continue de travailler. Si ça continue comme ça, je pourrais décider de décéder prématurément l’année prochaine, à l’insu de mon plein gré. Entre deux, je suis parti en vacances - 3 jours (Wow...) - à Dublin. Je vous laisse découvrir ma meilleure photo du site.

Ah sinon, oui, on peut parler maximes. En avril, ne te découvre pas d’un fil. C’est ce que je fais, voici une photographie de mon studio d’enregistrement (sous le bureau).

Des fils, des fils

C’est Avril en même temps, alors...

C’est une maxime de circonstance pour ce mois d’Avril. Et en même temps, ça vous permet de voir que quand j’ai besoin d’une triplette, je ne fais pas semblant, je les commande par wagons de 18. Non mais hein. J’aime pas manquer de prises.

Tout cela de ne nous dit pas quand on va bien pouvoir télécharger l’épisode 15, ni les différentes goodies, qui auraient besoin d’un bon coup de polish avant leur diffusion sur ce site, notamment les chansons que certains d’entre vous ont entendues aux deux derniers concerts (Et qui maintenant me les réclament à grands renforts de mails). Je sais, c’est dur.
Mais j’ai pas quatre bras, comme on dit, et malgré mes multiples lettres au président, il n’y a toujours que 24h dans une journée (dont une partie qui ne sert qu’à dormir, quel gâchis !). C’est comme ma pétition pour le rattachement du département de la Seine et Marne à la Bretagne, elle reste toujours sans réponse. C’est proprement inadmettable.

Bref, comme d’hab ça vient, et pas la peine de s’exciter. Y en a qui bossent ici, Morbleu.