5 July 2006
Rapport de mise en service du bâtiment "Survivaure"
Rapport de mise en service du bâtiment issu du Programme « Survivaure » en ce jour du 25 Octobre de l’an de grâce 2987.
Par Robert H. Delton, premier officier superviseur en charge des mises en service d’astronefs interstellaires militaires devant circuler au-delà de la PCI 1.
En conséquence de quoi, le Survivaure a été rebaptisé, en ce 31 Octobre 2987, NHL2987- SURVIVAURE, en conformité avec la procédure de mise en service des bâtiments militaires décrite à l’alinéa 3 du Code Confédéral de l’Espace, amendé de l’article 27 de la Règlementation Interstellaire Confédérale, relatif à l’identification des astronefs devant circuler au-delà de la Première Ceinture Intérieure, et en accord avec la demande d’inscription du bâtiment « Survivaure » au registre des bâtiments de la flotte NHL du Consortium.
- 1. PCI : Première Ceinture Intérieure
- 2. Il faut noter qu’il nous a été impossible d’en informer les responsables du Programme « Survivaure » . Le registre des mines spatiales indique étrangement que 9 directeurs différents ont été nommés sur ce programme, tous décédés dans des circonstances assez obscures
- 3. Le service en question indique que la réparation est planifiée pour le 31 Août 2989, comme arbitré par l’Amiral Sergei Marekowicz, ex-commandant des forces militaires en exercice, et promu au grade de CGT (NDLR : Coordinateur Général des Travaux) du Spatioport CONS/ORB-S1. Dans l’attente, le hall d’embarquement n°7 sera mis en quarantaine, en référence au procès verbal ref HINST/G.JOK/R371 du tribunal confédéral de Los Mexingrad Alpha-3. Cette décision du Procureur-juge et Avocat de la défense Bradford fût bien accueillie par les familles des victimes de ce regrettable incident.
- 4. L’expertise donne lieu à des conclusions contradictoires à ce sujet, puisque le cabinet « Parker Young & Ernst Excelture» fait état de "dommages irréversibles occasionnés par effet de contact" au réacteur n°3 situé à l’arrière de l’appareil. Les différents experts confédéraux mandatés par la CGT ont qualifié de "fantaisistes" les conclusions du cabinet, indiquant qu’il était "impossible qu’un réacteur tombe en plein vol" et qu’il fallait "arrêter de se pignoler avec ces fadaises dont l’objectif est de faire cracher au bassinet les contribuables de la confédération du Consortium, et faire baisser leur pouvoir d’achat, alors qu’ils ont certainement d’autres objectifs dans la vie que d’engraisser des consultants au discours alarmiste de sécurité sécuritaire, bon sang de bois !" (sic). Il apparaît qu’après enquête, une étude complémentaire concernant les réparations à prévoir suite à cette collision aurait effectivement été proposée par le cabinet, mais refusée par le comité de direction du Spatioport CONS/ORB-S1, décision applaudie par la CGT.
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